Aujourd’hui en moyenne 20 % de la population (28-30 % dans certaines régions) à plus de 60 ans. Ces personnes âgées souhaitent pour la plupart se maintenir en forme le plus longtemps possible et pour cela elles s’adressent aux professionnels de santé.
Les études réalisées ces vingt dernières années montrent que la pratique quotidienne d’une activité physique apporte des bénéfices multiples tout au long de la vie et qu’elle est une condition nécessaire au vieillissement réussi. Les études prospectives indiquent que l’activité physique influe positivement sur la longévité, probablement en raison de son rôle bénéfique sur la fonction cardiovasculaire, le métabolisme, la composition corporelle, etc. Chez le sujet très âgé, l’activité physique prévient l’état de « fragilité » en améliorant la fonction musculaire, l’aptitude cardio-respiratoire, l’équilibre, l’état thymique et les capacités d’attention.
Par ailleurs, elle améliore l’appétit. L’activité physique modère le déclin physiologique L’activité physique diminue les facteurs de risque et réduit la fréquence des maladies cardiovasculaires y compris de l’artériopathie des membres inférieurs et du diabète de type Il. Elle permet de maintenir la masse et la force musculaires, retardant la perte d’autonomie physique. Elle freine la perte osseuse liée à l’ostéoporose. Le déclin de la capacité aérobie au cours du vieillissement n’a pas de retentissement jusqu’au franchissement d’un seuil d’intolérance à l’effort, au-delà duquel il existe un retentissement sur les activités de la vie quotidienne. Il est actuellement clairement établi que l’activité physique permet d’atténuer largement cette altération de la capacité à l’exercice, en améliorant l’aptitude cardio-pulmonaire (VO2max) ainsi que la fonction cardiovasculaire par l’augmentation du débit cardiaque maximal, de la densité capillaire, et la diminution des résistances périphériques.
La fonction musculaire (force, puissance, endurance) est largement affectée par le vieillissement. Cela est lié à la réduction de la masse musculaire avec l’âge (sarcopénie) mais plus encore à la diminution de la force musculaire qui est plus importante que la réduction de masse musculaire. Un entraînement contre résistance permet d’améliorer la force musculaire, et, dans une moindre mesure, la masse musculaire, selon l’intensité et la fréquence des entraînements.
L’activité physique optimise la composition corporelle lors du vieillissement Une augmentation de la masse grasse est classiquement observée lors du vieillissement. Réduire la masse grasse abdominale et viscérale permet de diminuer la résistance à l’insuline, améliorer le statut lipidique (HDL, LDL cholestérol, cholestérol total) et les chiffres de la tension.
L’exercice en endurance permet de réduire les tissus graisseux abdominal et viscéral. L’exercice contre résistance augmente la masse musculaire sans diminuer la masse grasse et freine la perte de masse osseuse. Il permet une meilleure statique. Il est donc important d’associer les deux types d’activité physique.
Les effets de l’exercice sur la densité osseuse constituent un élément impor- tant dans la prévention et le traitement de l’ostéoporose et la prévention du risque de fractures, comme l’ont montré plusieurs méta-analyses.Bénéfices d’une activité physique en cas de pathologie chronique. On peut citer par exemple : k une amélioration de la sensibilité à l’insuline ; k une amélioration du statut lipidique chez le diabétique de type II ; k un bénéfice en prévention secondaire au cours des maladies cardiovascu-laires. Un impact positif significatif sur la survenue d’incapacités est notable dans nombre de maladies chroniques – maladie de Parkinson, BPCO (broncho-pneu- mopathie chronique obstructive), artériopathie des membres inférieurs, insuf- fisance rénale chronique, insuffisance cardiaque congestive... – notamment dans les premières années de la maladie.
Les effets de l’exercice sur la densité osseuse constituent un élément important dans la prévention et le traitement de l’ostéoporose et la prévention du risque de fractures, comme l’ont montré plusieurs méta-analyses.Bénéfices d’une activité physique en cas de pathologie chronique.
On peut citer par exemple :
une amélioration de la sensibilité à l’insuline ;
une amélioration du statut lipidique chez le diabétique de type II ;
un bénéfice en prévention secondaire au cours des maladies cardiovascu-laires.
Un impact positif significatif sur la survenue d’incapacités est notable dans nombre de maladies chroniques – maladie de Parkinson, BPCO (broncho-pneu- mopathie chronique obstructive), artériopathie des membres inférieurs, insuf- fisance rénale chronique, insuffisance cardiaque congestive... – notamment dans les premières années de la maladie.
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